Quitter la terre ferme : préparer son projet de vie en catamaran
Vous rêvez de larguer les amarres ? De troquer votre agenda Outlook contre un coucher de soleil sur l’eau, vos embouteillages contre des grains passagers, et votre machine à café contre une cafetière italienne qui tangue doucement au mouillage ? Vous n’êtes pas seul(e).
Depuis quelques années, je vois débarquer sur mon catamaran des Suisses, des Belges, des Français et des Québécois, tous avec la même étincelle dans les yeux : et si on partait ? Une année sabbatique en famille, une retraite sur l’eau, ou simplement un grand bol d’air salin et d’autonomie.
Mais très vite, cette étincelle se heurte à un premier écueil : par où commencer ? Comment préparer son projet de vie en catamaran habitable (sans faire naufrage avant même de partir)

1. Le rêve, c’est bien. Le projet, c’est mieux.
Partir vivre ou naviguer plusieurs mois sur un bateau, ça ne s’improvise pas. Même si Instagram vous dit le contraire. Il faut du temps, de la méthode et un peu de transpiration (surtout aux manœuvres). Et c’est là que j’interviens : sur mon Nautitech 395, je propose des stages personnalisés pour vous préparer, en douceur, mais sérieusement, à votre projet.
2. Acheter un bateau, c’est comme choisir un appart… qui bouge
Catamaran ou monocoque ? Neuf ou occasion ? 3 cabines ou 4 ? Génois ou trinquette ?
Pas de panique : pendant le stage, on décortique les critères de choix concrets en fonction de votre projet, de votre budget, et surtout de votre tolérance aux bruits suspects dans la coque la nuit.
Et je vous parle aussi de ce que les vendeurs ne disent pas toujours : l’entretien, les pièces qu’on ne trouve jamais, les petits trucs qui rouillent trop vite sous les tropiques… Bref, du vécu.

3. Être autonome, c’est pas juste savoir faire des nœuds
Le vrai luxe à bord, ce n’est pas la clim’ : c’est de savoir faire seul(e). Naviguer, manœuvrer, mouiller, réparer une pompe, lire une carte météo, … et garder son sang froid si l’annexe dérive….
Sur mon bateau, je vous forme à l’autonomie réelle. En situation, pas sur un tableau blanc. Et toujours avec bienveillance (et parfois un bon café, voire une bonne carib, après la manœuvre).
4. Vous n’êtes pas trop vieux / trop débutant / trop maman poule
J’ai formé des retraités partis autour de l’Atlantique, des familles avec enfants, des femmes seules, des couples néophytes, des sabbatiques surmotivés.
Vous n’êtes ni trop tard, ni trop nul(le) pour apprendre. Il faut juste un bon prof, un cadre rassurant, et le plaisir de progresser un pas après l’autre. Ça tombe bien : c’est exactement ce que je propose.
5. Un stage, c’est plus qu’un cours : c’est une immersion
Vous vivez à bord, vous participez à tout, vous naviguez entre les îles (les vraies, pas celles des brochures): Guadeloupe, Antigua et Barbuda, Martinique, Les Bahamas, Les Grenadines, Les Iles Vierges, St Martin et St Barth… Je partage tout ce que je sais, sans jargon ni blabla inutile, dans une ambiance détendue et sérieuse à la fois.
Vous repartez avec des compétences, une vision claire de votre projet, et souvent… un peu de mal à redescendre sur terre.
Envie d’en savoir plus ?
Envoyez-moi un petit message. Je ne vends pas de rêve, je le prépare avec vous, voile après voile.
Et si vous êtes prêt(e) à embarquer, je vous attends aux Antilles, soleil inclus.

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